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C'est avec fierté que le Réseau des femmes en environnement a collaboré avec Enviro Compétence, à la réalisation d'une étude visant à dresser le portrait des femmes en environnement. Découvrez l'intégralité de cette étude en cliquant ICI 

Lire l'article publié dans le journal Le Devoir

 

Le samedi 22 avril prochain, à l’occasion du Jour de la Terre, une grande manifestation pour la justice sociale et climatique est organisée à Montréal et à Québec. À titre d’organisation engagée depuis plus de vingt ans dans l’amélioration de la qualité de l’environnement, le Réseau des femmes en environnement sera présent à cet événement d’envergure, afin de rappeler aux décideurs qu’il n’y a plus une minute à perdre.

 

 

Réseau: Alexandra, parlez-nous de vous. 

Alexandra: Passionnée des mots et des gens, j’œuvre dans le domaine des communications depuis près de 15 ans. Il y a quelques années, interpelée par les enjeux environnementaux et ayant fait plusieurs prises de conscience, j’ai entamé un virage pour me spécialiser en développement durable. J’étudie d’ailleurs actuellement au deuxième cycle à HEC Montréal dans ce domaine.

 

Le Réseau des femmes en environnement a été créé en 2000, issu de la volonté de mieux informer la population sur les liens entre les problématiques environnementales et la santé des femmes.

 

D’où vient la légitimité d’un réseau de femmes en environnement?

 

Notons d’abord que, par « femmes », on entend toute femme dans leur pluralité et leurs diversités.

 

 

Réseau: Lauren, parlez-nous de vous.

Lauren: Je m’appelle Lauren Rochat et je suis la fondatrice de BocoBoco, une épicerie gourmande et zéro déchet en ligne à Montréal. Pendant 7 ans, j’ai travaillé en gestion et marketing de projets environnementaux. J’ai eu diverses expériences : en crédits carbone, en gestion de résidus agroalimentaires et en bâtiments durables.

 

En collaboration avec Par Valerie Degas, dans le cadre du projet «Diminuer les rejets toxiques dans l'eau: j'agis aujourd'hui».

 

To read this article in English, click here.

 

 

Par Caroline Larocque, chargée de projets au Réseau des femmes en environnement et coordonnatrice du projet «Diminuer les rejets toxiques dans l'eau: j'agis aujourd'hui».

 

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